Dès les années 1970, le cinéma israelien s'oriente vers une contestation contre la discrimination sociale et politique des communautés orientales d’Israël. Le cinéma israélien est devenu une forme de conscience morale de la société israélienne.
Qu’ils s’inspirent de la guerre (Beaufort), de l’occupation de la Palestine (Une bouteille à la mer), du conflit au Liban (Valse avec Bachir) ou qu’ils s’attachent à mettre en lumière d’autres aspects de la réalité israélienne (Youth, Mon fils), les films produits dans l’Etat hébreu collectionnent depuis les années 2000 quelques succès internationaux (La grammaire intérieure).